Orientation : que faire après Orveau ?

Cher parents, chers élèves, chers visiteurs,
Cette page est destinée à rappeler les différentes échéances qui attendent nos élèves de 1ère et de Terminale en matière d’orientation.

Un grand merci à l’APEL à l’initiative de la réalisation de cette page

Orientation post-baccalauréat

Après le baccalauréat il est possible de s’engager dans l’enseignement supérieur pour 2, 5 ans, voire plus. S’il fallait résumer de façon rapide le questionnement à se poser pour construire son orientation ce serait en trois questions :

  • Qu’est-ce que je souhaite faire (métier, filière) ?
  • En combien de temps ?
  • Comment mon profil d’élève de lycée correspond-il à celui d’étudiant dans la filière choisie ?

Quels que soient le métier ou la filière, les parcours peuvent se combiner avec des systèmes de passerelles. Cependant, pour quelques-uns d’entre eux, l’accès à la filière passe, au début ou en cours d’études, par des concours (médecine et associés, certaines écoles d’ingénieur, le droit pour le barreau ou la magistrature, l’administration) . 
Construire son choix d’orientation de façon éclairée est le meilleur garant de la réussite des études d’un élève dans l’enseignement supérieur. Cela peut être compliqué et mérite que les élèves s’y intéressent dès la classe de 1ère pour détourer les métiers ou les filières qui peuvent les intéresser. En Terminale ce premier travail va être affiné pour identifier plus précisément les établissements au sein desquels l’élève aimerait étudier, et pour lesquels il émettra un « vœu » sur Parcoursup.

Les filières courtes (BTS / DEUST)

Le BTS (Brevet Technique Supérieur) est un diplôme reconnu à bac + 2.
Il se prépare au Lycée. Il existe 119 spécialités de BTS. Ce diplôme, plus spécialisé, est orienté vers une intégration rapide dans le monde du travail.
En BTS, il faut compter entre 30 et 33 h de cours par semaine, peu ou prou comme au Lycée.

Avec une cinquantaine de spécialités, le DEUST (Diplôme d’Études Universitaires Scientifiques et Techniques) représente une alternative moins connue et propose des formations également en 2 ans sur des créneaux plus pointus, adaptés à des besoins locaux de marché du travail.
Certains DEUST ne sont accessibles qu’après un 1er semestre d’enseignement supérieur (1er semestre de licence, de BTS, de BUT), le DEUST étant également une solution de réorientation. 

À l’issue de ces 2 diplômes il est possible de poursuivre ses études pour obtenir en un an une licence professionnelle, et même poursuivre ensuite vers des masters.
Certains BTS ouvrent également la possibilité (sur dossier ou concours) d’intégrer des grandes écoles d’ingénieurs, de commerce, ou les écoles vétérinaires.

Les IUT

Depuis septembre 2021, le BUT (Bachelor Universitaire de Technologie) remplace le DUT. Cette formation universitaire post-bac désormais dispensée sur une durée de trois ans au lieu de deux, permet de préparer un diplôme de niveau licence. D’une certaine manière, on peut estimer qu’elle correspond à un DUT suivi d’une licence professionnelle.
Les BUT sont organisés en 24 filières. C’est le diplôme des IUT (Institut Universitaires Technologiques), qui sont rattachés à des Universités.
Comme pour les BTS, les BUT offrent des possibilités de passerelles vers des formations en école de commerce ou d’ingénieurs.

Pour en savoir plus, en particulier sur les passerelles existant après l’obtention d’un BUT : https://www.onisep.fr/formation/apres-le-bac-les-etudes-superieures/les-principales-filieres-d-etudes-superieures/les-but-bachelors-universitaires-de-technologie

L’Université

Une Université, privée ou publique, est organisée en Facultés qui dispensent des enseignements dans presque toutes les filières existantes.

Les étudiants qui postulent après le baccalauréat le font généralement en licence, diplôme reconnu à bac+3.

En 3 ans, la licence représente le premier palier à réussir pour accéder au Master. Ce diplôme universitaire s’obtient en 2 ans d’études après la licence et correspond donc à un bac + 5.

C’est la voie privilégiée par les bacheliers pour suivre des études supérieures. Elle a ses spécificités :

  • Une autonomie à laquelle les lycéens ne sont pas forcément habitués, avec une charge de travail qui peut être importante : entre 20 et 30h de cours par semaine auxquelles il faut ajouter un travail personnel plus conséquent qu’au Lycée, afin par exemple de préparer des exposés, de lire des ouvrages et de réviser pour les partiels. A l’université, la part de contrôle continu est en général peu importante. L’essentiel de la validation d’année se joue donc au moment des examens partiels (généralement 2 groupes d’examens par an). Les présences en cours ne sont pas forcément contrôlées et les étudiants doivent eux-mêmes organiser leurs apprentissages et leurs préparations d’examens. 
  • Des effectifs importants, qui peuvent atteindre plusieurs centaines d’étudiants, même si les effectifs en TD (Travaux Dirigés) et TP (Travaux Pratiques) sont moins importants.
Les années préparatoires à la licence

Le décalage entre les compétences acquises au Collège et au Lycée et les compétences attendues à l’entrée à l’Université est un constat qui a été fait par de nombreux établissements.

Au cours de ces dernières années on a vu apparaître des cours de mise à niveau ; l’année de « propédeutique » pour permettre aux élèves ayant la volonté de réussir leurs études tout en étant conscients de leurs retards dans certaines matières. Ces formations permettent également à certains bacheliers de se réorienter en suivant une formation qui reprend les contenus des spécialités qu’ils n’auraient pas choisies en 1ère et terminale. Un bon exemple étant le PCOS de l’Université d’Orsay qui forme des élèves en maths-physique-chimie-svt qui souhaitent se réorienter vers des filières scientifiques.

  • Pour donner un ordre d’idée, le lien suivant d’accès au CIO de Saint-Germain en Laye propose la liste des différentes années préparatoires aux licences et aux BTS scientifiques au niveau national : https://www.ac-versailles.fr/media/20444/download
Les CUPGE et les licences renforcées

C’est une alternative aux classes préparatoires classiques. Elles proposent des parcours en deux ou trois ans à l’Université.
Il y a 27 formations enregistrées sur Parcoursup.
Ces cursus renforcés de licence en deux ou en trois ans, sont majoritairement scientifiques afin de préparer aux écoles d’ingénieurs. Quelques programmes existent aussi en gestion, droit et lettres et préparent aux écoles de commerce, IEP, ou écoles de journalisme.

Plus d’informations : https://www.onisep.fr/formation/apres-le-bac-les-etudes-superieures/les-principales-filieres-d-etudes-superieures/les-licences-renforcees-a-l-universite-cupge-cursus-ou-parcours-renforces

Les Classes Préparatoires aux Grandes Écoles

Voie d’excellence à la française, la classe préparatoire permet d’accéder par concours aux Grandes Écoles des filières scientifiques, économiques & commerciales et littéraires :

  • Écoles de commerce = Classes préparatoires ECG.
  • Écoles d’Ingénieur = Classes Préparatoires MPSI – PCSI – MP2I – PTSI – BCPST – ATS scientifiques et Agro Véto post BTSA et BTS (les TB – TPC – TSI s’adressent aux élèves issus de la voie technologique).
  • Études littéraires = Classes Préparatoires A/L – B/L.

Cette orientation est ouverte à tous les lycéens, pourvu qu’ils soient préparés, impliqués et d’une grande discipline dans leur organisation scolaire.
Selon les filières, plusieurs voies de formation sont proposées. Le cursus dure 2 ans, 3 en cas de redoublement de la deuxième année.

Il existe une offre large de classes préparatoires, privées comme publiques, avec des niveaux très variés. Plus les Lycées offrent des taux élevés d’intégration dans les écoles les plus prestigieuses, plus la sélectivité est forte pour y entrer. La sélection se fait essentiellement sur la qualité du dossier scolaire (les résultats et le rang dans la classe).

Sans être un cursus diplômant en tant que tel, la classe préparatoire donne lieu à des crédits

ECTS (60 crédits pour la première année, 120 pour le parcours complet de formation), qui permettent de poursuivre des études à l’Université en cas de renoncement. Cela permet à des étudiants n’ayant pas réussi à décrocher le concours souhaité de se réorienter vers des formations universitaires ou vers des écoles à prépa intégrée, en entrant ainsi directement en 3e année du cycle licence.

Les écoles post-bac

Elles s’adressent principalement aux élèves qui souhaitent intégrer les filières « Commerce » ou « Ingénieur » via des formations qui durent entre 3 et 5 ans, sans passer par la classe préparatoire.

Le choix d’une école post-bac doit se faire assez tôt dans le processus d’orientation car il nécessite un investissement tout particulier durant l’année de Terminale. En effet, la plupart des écoles post-bac imposent un concours d’entrée dont les modalités et la nature des épreuves sont très spécifiques et totalement nouvelles pour un lycéen : de nombreux sujets sont sous forme de QCM, certains portent sur des méthodes qui ne sont pas abordées au Lycée comme les épreuves de synthèse ou de logique.

Nous pouvons citer à titre d’exemple les concours suivants :

  • Geipi Polytech (permet d’accéder à 35 écoles d’ingénieur),
  • Puissance Alpha (permet d’accéder à 19 écoles d’ingénieur),
  • Avenir (permet d’accéder à 7 écoles d’ingénieur),
  • Sésame (permet d’accéder à 16 écoles de commerce et management),
  • Accès (permet d’accéder à 3 écoles de management).

Il est important également de souligner que de nombreuses écoles post-bac privées que ce soit dans les filières commerciale, scientifique, artistique…  proposent des « Bachelors » en 3 ans, ainsi que des BBA (Bachelor In Business Administration) en 4 ans, sur le modèle d’études anglo-saxon.
Ce sont des titres, qui ne peuvent être considérés comme un diplôme, qui ne leur confère pas un grade de licence, sauf s’ils bénéficient d’un visa de l’État.

Un Bachelor qui n’est pas reconnu par l’État n’offre pas d’équivalence universitaire, ne donnera pas lieu à la délivrance de crédits ECTS et ne permettra pas de poursuivre ses études en Master. Soyez donc prudents dans vos choix en vérifiant bien ces critères en amont.

Les écoles « spécialisées »

C’est le cas notamment des Instituts d’Études Politiques (IEP) de Paris, de Bordeaux et des autres IEP de Région.
Le recrutement des IEP est spécifique (prise en compte des bulletins de seconde, dépôt de papiers/rédactions tout au long de l’année de Terminale…), très sélectif et doit être anticipé au plus tôt.

Certaines de ces écoles (par exemple les écoles vétérinaires, ou l‘Ecole de santé des armées) recrutent par un concours à passer durant l’année de terminale.
Ces écoles concernent également des métiers très spécifiques tels que les écoles de journalisme, de comptabilité, d’architecture, des métiers d’infirmiers, du paramédical, du social ou encore les écoles d’art. Les niveaux sont très variables, il convient de vérifier leur reconnaissance par l’État et par le milieu professionnel. L’ancienneté de l’école est aussi un critère intéressant en matière de crédibilité.

Les enjeux du cycle Terminal (1ère et Terminale)

En classe de 1ère

Le premier objectif de la 1ère est le contrôle continu et le bac de français pour optimiser ses chances d’intégration dans le supérieur.
En effet le nouveau baccalauréat a connu de nombreuses évolutions, dont les dernières sont :

  • Des épreuves finales d’enseignement de spécialité rétablies en juin pour lutter contre la démobilisation des élèves.
  • L’intégration au sein de la matière « Enseignement spécifique » d’un module de Mathématiques.

Le décalage au-delà de la phase d’admission de Parcoursup des épreuves écrites ne permet plus leur prise en compte au moment de la sélection dans le supérieur et accentue, de fait, le poids du contrôle continu.

L’année de Première est déterminante pour l’obtention du baccalauréat et le dossier Parcoursup, les bulletins des trois trimestres y étant déposés (contre deux en Terminale), ainsi que les résultats du bac de français. Il est à noter que parmi des élèves de profils équivalents sur les matières de spécialités, les sélections des établissements supérieurs se font souvent, pour départager les étudiants, sur les matières de tronc commun (langues vivantes, histoire-géographie, enseignement scientifique, philosophie) et sur la capacité des étudiants à avoir éventuellement réussi à suivre des options (latin, maths expertes ou complémentaires,…). Ces éléments sont donc fondamentaux à prendre en compte par nos élèves pour produire des années cohérentes dans l’ensemble des matières.

Plus spécifiquement concernant le baccalauréat de français :

  • L’analyse empirique des intégrations des élèves dans les établissements d’enseignement supérieur (accessibilité aux établissements, réception de propositions d’intégration) montrent assez clairement que les notes du baccalauréat de français ont de plus en plus de poids.
  • Ce qui est assez logique considérant qu’à ce jour, le français est la seule matière dont les notes du baccalauréat sont intégrées au dossier de candidature Parcoursup.
  • Si les notes du baccalauréat de français sont moyennes ou insuffisantes, l’élève doit créer une compensation positive en terminale en obtenant de (très) bons résultats en histoire-géographie et surtout en philosophie.

Après le choix des matières de spécialité et le stage de 2nde, la classe de 1ère est également le moment de travailler son projet d’orientation et de s’informer activement pour élaborer ses choix. Voici quelques outils :  

  • Les salons étudiants. Ils sont une source précieuse d’information, mais il est nécessaire de préparer sa venue en identifiant au préalable les filières ou les établissements que l’on souhaite rencontrer de façon à optimiser le parcours de visite.
  • Les journées portes ouvertes des établissements du supérieur sont également utiles pour rencontrer des étudiants qui partagent leur expérience de façon à affiner ces choix. Il est difficile de pouvoir se rendre dans tous les établissements. L’année de première est l’occasion de pouvoir commencer ce parcours. Il est à noter que les journées portes ouvertes des Universités peuvent être un bon point d’entrée pour faire le tour de ce qui peut être proposé en matière de filières. Moins étendues que certains salons, elles peuvent néanmoins proposer un nombre important de formations.
  • Les stages restent un moyen très instructif pour se rendre compte de la réalité d’une profession. Ils ne sont pas obligatoires en 1ère mais peuvent constituer une plus-value pour un dossier Parcoursup et seront particulièrement valorisés dans les processus de sélection de Sciences Po Paris, et de certains IEP de Région.

La « carte des formations » de Parcoursup : https://dossierappel.parcoursup.fr/Candidat/carte

Le calendrier Parcoursup 2024-2025 : https://www.parcoursup.gouv.fr/calendrier/calendrier-4

L’Office national d’information sur les enseignements et les professions (ONISEP) : https://www.onisep.fr/

A titre d’information, nous fournissons en annexe de ce document des informations sur les Journées Portes Ouvertes (JPO) de plusieurs universités catholiques ainsi que sur les CPGE.

Pour chaque région, vous pouvez consulter les sites de l’Académie qui vous intéresse. On y trouve en général des informations sur les JPO des établissements supérieurs de l’Académie concernée.

En classe de Terminale

En Terminale l’objectif est de poursuivre sa progression académique pour, préparer son entrée dans le supérieur, organiser la formulation de ses vœux sur Parcoursup, anticiper et se préparer aux concours en cas de besoin et enfin, réussir son bac.

Il est à noter que même si le troisième trimestre n’est pas pris en compte sur Parcoursup, il est capital de poursuivre l’effort jusqu’au bout. D’abord à titre personnel, pour ne pas perdre le bénéfice d’un rythme de travail installé pour être prêt à bien débuter des études supérieures. Ensuite parce que certains établissements demandent les notes du troisième trimestre une fois la procédure d’admission validée. Enfin, par prudence, en cas de réorientation et de réinscription sur Parcoursup l’année suivante, tous les bulletins de Terminale seront pris en compte.

En Terminale il s’agit de sélectionner précisément les établissements dans lesquels l’élève aimerait étudier. Il dispose des mêmes outils qu’en première pour ce faire, avec en plus :

  • Les rencontres avec les anciens élèves, en alternance avec le forum des métiers, organisés au sein de notre établissement.
  • Le travail avec les équipes pédagogiques pour affiner son orientation et préparer son dossier sous Parcoursup. A Notre-Dame d’Orveau, les élèves de terminale ont accès à des entretiens individuels avec des cadres de l’établissement pour échanger sur leur projet d’études, obtenir des conseils, ainsi que bénéficier d’un éventuel accompagnement sur la rédaction des « projets » à rédiger pour les formations choisies sur Parcoursup.

D’utiliser Parcoursup comme outil de travail et pas uniquement comme une plateforme de dépôt des candidatures. Parcoursup regroupe en effet la totalité des presque 23.000 formations reconnues par l’État. La plateforme est ouverte toute l’année mais le moteur de recherche est disponible à partir du 18 décembre.

Il est possible de naviguer parmi toutes les formations, de sélectionner des favoris en y attachant des commentaires.
D’un point de vue académique, elle reprend les modalités de sélection, les attentes des établissements et des formations, la typologie des élèves acceptés les années précédentes.
Par ailleurs la plateforme regroupe toutes les informations nécessaires au-delà des sujets académiques : statut privé/public, formations payantes ou pas, label de certification par l’État, l’éligibilité aux bourses etc…
De plus, elle permet également de comparer des formations.

Concernant les journées portes ouvertes des établissements du supérieur, les élèves devront privilégier celles des établissements qui remportent leurs préférences ainsi que celles qu’ils ont le plus de chances d’intégrer. Il est important de bien s’inscrire à ces journées avec l’adresse mail qui va servir à ouvrir le compte Parcoursup de l’élève. De nombreux établissements vérifient en effet, lors de leur processus de sélection, que les étudiants qui postulent ont assisté à leurs journées portes ouvertes. Ces participations peuvent leur donner des priorités dans le processus de sélection.

Au-delà des critères académiques, les critères de choix personnels sont tout aussi importants : situation géographique, proximité familiale, intégration sociale, coût, besoin d’hébergement… Enfin, pour les établissements hors Parcoursup, il conviendra de vérifier leur statut, leur reconnaissance par l’État, et la valeur des diplômes délivrés.

Des préparations spécifiques peuvent également être envisagées pour réussir à intégrer certaines filières :

  • Anticiper le niveau académique attendu dans les filières Médecine, Sciences Po et pour les CPGE. Certains organismes (privés et payants) proposent pendant le cycle terminal (1ère et terminale) des cours de préparation pour renforcer les acquis de lycée et permettre aux étudiants d’entrer plus efficacement dans leur année sélective post-bac.
  • Certifications en langues qui permettent d’objectiver un niveau à partir d’un référentiel commun (IELTS, Certifications British Council, DELE, Bright Español, TELC Deutsch…), qui peuvent être un plus dans des filières compétitives voire indispensables pour postuler dans certaines formations à l’étranger ou dans des établissements où l’enseignement est entièrement délivré en anglais.

Un point sur la certification Pix :

  • C’est une formation qui commence en 6ème et qui est certifiée en 3ème.
  • Elle est obligatoire en février/mars de Terminale, cette certification validant un niveau de compétences dans 5 domaines et 16 domaines numériques qui sont détaillés dans les Annexes de ce document.
  • Le résultat de cette certification en Terminale remonte automatiquement dans Parcoursup.
  • Certains établissements post-bac demandent un score PIX attendu (sur le modèle de l’IELTS du British Council en anglais).
  • Il existe un projet de certification PIX pour les concours de CPGE et pour les L1 avec un niveau attendu.
  • Cette certification est une autoformation, les établissements du secondaire ont pour seul rôle d’organiser cette autoformation et sa certification. D’où l’importance de garder les codes de connexion à la plateforme PIX tout au long de la scolarité des élèves.

Annexe  : Journées Portes Ouvertes Universités catholiques/Lycées/CPGE

I. Les Universités Catholiques

La « Catho » de Lille

https://www.univ-catholille.fr/

Un catalogue étendu de 350 formations : https://www.univ-catholille.fr/wp-content/uploads/2024/09/350-fileres-2025-light-003.pdf

2 campus, à Lille et à Issy-les-Moulineaux (92)

L’UCLY : Université Catholique de Lyon

2 campus sur Lyon, 1 campus à Annecy.
Écoles, Instituts et Facultés de l’Université :

  • ESQESE : Qualité-Sécurité-Environnement
  • ESTBB – École Supérieure de Biologie-Biochimie-Biotechnologies
  • IFTLM : Diagnostic et recherche biomédicale
  • ESDES Business School
  • ESTRI : Lettres, langues et communication
  • ILCF – Institut de Langue et de Culture Françaises
  • IDHL : Institut des Droits de l’Homme de Lyon
  • Institut Société & Famille
  • IPER : Institut Pastoral d’Études Religieuses
  • Faculté de Théologie
  • Faculté de Droit
  • Faculté de Psychologie – SHS
  • Faculté d’Éducation
  • Faculté de Philosophie
  • Faculté des Lettres et Civilisations

Journées Portes Ouvertes : https://www.ucly.fr/portes-ouvertes-ucly-et-rendez-vous/

L’Université Catholique de l’Ouest : l’UCO

10 campus : Angers, Brest, Guingamp, Ifepsa, La Réunion, Laval, Nantes, Niort, Papeete, Vannes.

6 facultés :

  • Droit, Économie et Sciences Politiques
  • Éducation
  • Humanités
  • Sciences
  • Sciences humaines et sociales
  • Théologie et Sciences religieuses

Le catalogue des formations : https://www.uco.fr/fr/catalogue-des-formations

Les journées portes ouvertes sont organisées par campus. À Angers elles se tiendront le 14 décembre prochain : https://angers.uco.fr/fr/event/les-portes-ouvertes-de-l-uco-angers

La « Catho » parisienne : L’ICL

https://www.icp.fr/

3 campus : Paris, Reims et Rouen

Des classes préparatoires :

  • Au concours de l’enseignement (CRPE)
  • Au CELSA Communication.
  • À l’École du Louvre.
  • Aux écoles de journalisme.
  • De préparation aux études supérieures (Études européennes, Santé, en particulier pour les études et carrières en soins infirmiers, Sciences Humaines, Sciences Politiques).

Des formations qui peuvent se résumer comme suit :

Une image contenant texte, ligne, capture d’écran

Description générée automatiquement

Journées portes ouvertes le 1er février 2025 et rencontre des étudiants : https://www.icp.fr/formations/nous-rencontrer

II. Journées portes ouvertes Lycées/CPGE

Journées portes ouvertes classes préparatoires scientifiques, Lycées publics : https://prepas.org/index.php?rubrique=16

https://www.enseignement-prive.info/portes-ouvertes/liste?niveau%5B%5D=superieur

Annexe : dates des Salons et différents Forums

Salons de l’Étudiant : https://www.letudiant.fr/etudes/salons/page-3.html

Salons Studyrama : https://www.studyrama.com/

Salons Angers

À noter les conférences de l’Université d’Angers (en accès libre) : 

Jeudi 30 novembre à 10h : Le BUT à l’IUT
Préparé en 3 ans, après un bac général ou technologique, le BUT « Bachelor universitaire de technologie » est reconnu au grade de licence.
L’IUT d’Angers-Cholet propose 6 BUT : Génie électrique et informatique industrielle, Gestion des entreprises et administrations, Génie biologique, Techniques de commercialisation, Génie mécanique et productique, Carrières sociales.

Vendredi 1er décembre à 14h : Choisir son parcours universitaire
Venez découvrir toutes les subtilités des parcours universitaires que vous pouvez choisir à l’entrée et dans la poursuite de votre cursus. Sans oublier, les bonnes questions à se poser pour faire un choix éclairé et en phase avec vos attentes.

Vendredi 1er décembre à 17h : Comment réussir à l’Université d’Angers ?
Pour mieux connaître l’Université, et l’ensemble des dispositifs proposés aux étudiants.

Samedi 2 décembre  à 16h : Les études de santé : deux voies d’accès
Médecine, maïeutique, odontologie, pharmacie et kinésithérapeute, pour accéder à ces 5 cursus de santé, l’Université d’Angers vous propose 2 voies d’accès : le parcours PluriPASS dispensé à la Faculté de santé, et le parcours L.AS (Licence avec une option Accès Santé).

Les  pôles métiers :
Retrouvez également la Faculté de droit, d’économie et de gestion sur 2 pôles métiers :
« Droit et justice« , qui regroupe des interlocuteurs de toutes les filières de ce domaine pour évoquer une exceptionnelle palette de carrières.
« Banque, assurance, finance« 
et la Faculté de santé, département pharmacie sur le pôle métiers :
« Santé, services à la personne, laboratoire, social, enseignement« , pour découvrir les métiers, observer et participer à plusieurs ateliers animés par des professionnels et des jeunes en formation professionnelle.

Salon Studyrama des études supérieures le samedi 27 janvier Hall Novaxia au Parc des expositions d’Angers : samedi 27 janvier 2024

  • Horaires : de 10h à 17h
  • Gratuit (invitation à télécharger ci-dessous)
  •  Conférences animées par l’Université d’Angers (en accès libre) :
  • « Comment réussir à l’Université d’Angers », par le SUIO-IP de 11h45 à 12h30. 
  •  Parcoursup, de 13h à 13h45

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